Roland Dubillard partage l'affiche avec de nombreux autres acteurs dont vous pouvez découvrir les prénoms ci-dessous. La filmographie d'roland que nous vous proposons est composée de 7 films et/ou séries.

Sur l'ensemble de ces films, voilà les prénoms des autres acteurs avec lesquels roland a joué, jean-paul, claude, daniel, jean-francois, francis, philippe, robert, rosy, gerard, virginie, olga, bernadette, jean-pierre, charles, daniele, catherine, giovanni, helene, christine, michael, sandra, hugues, patrick, gisele, alberto, henry, jean, paul, marc, pierre, darling, francois, germana. Saurez-vous trouver de quels acteurs il s'agit ?

Les réponses dans la filmographie concernant Roland Dubillard

Dans le premier film de notre séléction, La Grande Lessive, Roland Dubillard a tourné avec Francis Blanche et Michael Lonsdale. Il a aussi partagé l'affiche avec Jean Poiret et Jean Tissier.

Voilà un bref résumé de ce film avec Roland Dubillard:

Révolté par l'apathie de ses élèves, qu'il attribue à leur surconsommation de télévision, Armand Saint-Just, professeur de lettres, entreprend de neutraliser les antennes réceptrices sur les toits de Paris.

Dans le second film retenu, La Ville bidon, Roland Dubillard était à l'affiche avec Daniel Duval et Robert Castel. Il a aussi partagé l'affiche avec Bernadette Lafont et Jean-Pierre Darras.

Synopsis du film:

Nous sommes dans les années 1970. Les "villes nouvelles" poussent comme des champignons, encouragés par les pouvoirs publics qui veulent faire face aux vagues d'immigration. Vivant sur un terrain vague, une bande de ferrailleurs rebelles, menée par un Daniel Duval surfant sur les capots de DS, s'oppose vertement au rachat de leur terrain par la municipalité. Mais la misère n'empêche pas la poésie - ni ne diminue, bien au contraire, l'envie de boire, de rire, de chanter.

Dans le film n°3, intitulé Le Temoin, Roland Dubillard a tourné avec Philippe Noiret et Gisele Preville. Il a aussi partagé l'affiche avec Alberto Sordi et Paul Crauchet.

Voilà un bref résumé de ce film avec Roland Dubillard:

Antonio Berti est accusé d'un meurtre qu'il n'a pas commis.

Dans le film n°4, intitulé Les Vécés étaient fermés de l'intérieur, Roland Dubillard a tourné avec Robert Berri et Virginie Vignon. Il a aussi partagé l'affiche avec Olga Valéry et Danièle Evenou. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Jean-Pierre Sentier , Robert Dalban , Patrick Guillemin , Jean Rochefort , Jean Luisi , Pierre Baudry , Darling Legitimus.

Synopsis du film:

Un poinçonneur du métro est retrouvé assassiné dans les toilettes. Bizarrement, la porte était fermée de l'intérieur. Le commissaire Pichard et son assistant Charbonnier mènent l'enquête.

Dans le film n°5, intitulé POLAR, Roland Dubillard a tourné avec Claude Chabrol et Jean-François Balmer. Il a aussi partagé l'affiche avec Gérard Loussine et Gérard Hérold. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Sandra Montaigu , Hugues Quester , Jean-Paul Bonnaire , Jean Louis Foulquier , Marc Dudicourt , François Guérif , Pierre Santini.

Voilà un bref résumé de ce film avec Roland Dubillard:

Au moment même où Eugène TARPON, enquêteur privé sans clients et sans moyens, décide de tout laisser tomber pour se retirer chez lui à la campagne, l’aventure le surprend sous les traits d’une jeune et jolie fille : Charlotte LE DANTEC. Et comment résister, quand on est un indécrottable idéaliste, au charme vénéneux d’une fille amorale et si brillante ? Dés lors, TARPON va se trouver mêlé à une serie d’évènements qui, telle une boule de neige qui dévale, l’entraîne irresistiblement. Il en échappera ; mais il n’est pas dit que la balle qu’il reçoit lui vaudra sa blessure la plus profonde…

Dans le film n°6, intitulé Peur sur la ville, Roland Dubillard a tourné avec Jean-Paul Belmondo et Rosy Varte. Il a aussi partagé l'affiche avec Charles Denner et Catherine Morin. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Giovanni Cianfriglia , Henry Djanik , Jean MARTIN , Germana Carnacina.

Synopsis du film:

Suite au meurtre de Norah Elmer, un certain "Minos" prend contact avec l'inspecteur Letellier, chargé de l'enquête. Minos revendique le meurtre de Norah et annonce son départ en croisade contre la licence des moeurs. Aussitôt, Letellier se met en relation avec toutes les femmes récemment menacées par les maniaques. Parmi elles se trouve Hélène, qui a prévenu la police sur les conseils de son ami Pierre Valdeck. Minos n'en frappe pas moins une seconde fois, devant Letellier qui arrête de le poursuivre pour capturer un petit malfrat. Désavoué par ses chefs mais maintenu sur l'affaire, Letellier, bien qu'il ait renforcé sa surveillance sur Hélène, ne peut empêcher son assassinat. Grâce aux indices fournis par les fragments d'un oeil de verre, l'inspecteur comprend qui est Minos... Une chasse à l'homme est lancée...

Dans le film n°7, intitulé Quelque part quelqu'un, Roland Dubillard a tourné avec Hélène Bernardin et Christine Tsingos. Il a aussi partagé l'affiche avec Hélène Dieudonné et Hugues Quester. Parmi les autres acteurs du film, on peut citer: Paul Villé.

Voilà un bref résumé de ce film avec Roland Dubillard:

Vincent, journaliste alcoolique, traînant dans les cafés et au palais Brognard, vit fort mal ses aspirations manquées d'écrivain et gère avec bien des difficultés sa relation sentimentale avec Raphaëlle, jeune femme architecte, qui tente d'assumer cette fonction en tenant compte des hommes et de leurs besoins. Il y a un étudiant qui refuse la société, ses normes, ses habitudes. Il ne veut s'attacher à rien, ni à personne. Il y a une femme d'un certain âge, venue de province, totalement seule à Paris. Il y a enfin un couple de petits vieux, heureux, les seuls à savoir sourire encore, jusqu'au jour où ils sont victimes d'une expropriation. Surtout, il y a des visages tristes ou réprobateurs, amers ou déprimés. Grand Prix d'interprétation masculine française Rolland Dubillard, Académie du cinéma " Etoiles de cristal " 1973 " Quelque part quelqu'un n'est pas un film comme les autres. C'est un film-poème. Une méditation sur la solitude. C'est un beau film aussi, parce que c'est un film "ouvert". C'est-à-dire qu'en le lisant nous y mettons beaucoup de nous-mêmes. " - Claude-Marie Trémois, Télérama

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